Comme au Maroc, le permis de conduire à points est un sujet de discussion en Algérie après la déclaration du ministre de transport sur la finalisation du décret de permis à points qui sera présenté dans les prochaines phases au gouvernement algérien. Comme vous le savez bien, ce mode de notation sera la solution optimale pour minimiser l’immense volume des accidents routières témoignées par des chiffres qui tirent la sonnette d’alarme à tous les intervenants. A titre d’illustration, la Gendarmerie nationale a déclaré son bilan d’Avril qui ressort 758 de victimes et 8412 de personnes blessées pour un nombre d’accidents «équivaut à 4 906 accidents routières constatées durant le premier trimestre de 2011. Tandis que le premier trimestre de 2010 a fait ressort de des chiffres moins choquants (143 est le nombre de victimes, 2 138 pour les personnes blessées pour un chiffre de 1 248 d’accidents de circulation).
Après la mise en vigueur de plusieurs mesures qui visent à limiter la délinquance routière en 2009, le permis à points sera prochainement mise en application pour la première fois en Algérie alors il y aura surement plus de restrictions et de procédures à mettre en œuvre pour mieux régulariser les infractions routières tout en évitant toutes les lacunes éventuelles mais aussi de prendre des décisions définitives sur les amendes à appliquer à toute personne fautive durant la conduire sur les routes.
A titre d’information, le permis à points consiste à ce que chaque conducteur de voiture ait un certain nombre de points fixes au début de sa possession de permis et dès qu’il commet une infraction routière donnée, il y aura de prélèvement de points et à un certain niveau le permis lui sera retiré. Par ailleurs, les professionnels du secteur de transport public ainsi que ceux de voyage doivent tenir compte les brevets professionnels. En outre, il faut citer l’instauration de permis définitif de 2 ans pour toutes les personnes qui viennent d’avoir leurs permis.]]>
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