Une quinzaine d’années après l’annonce de la charte nationale relative à l’éducation et à la formation, l’Université du Maroc remet les résultats de son évaluation. L’établissement se projette dans l’avenir et désire consolider le mouvement concernant la réforme du système de l’éducation et de la formation. Un des principaux piliers de la nation marocaine.
Des défis à relever
Tout comme les autres institutions universitaires marocaines, la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Saïs aura à relever des défis. Figureront au programme, des échéances à respecter et des performances d’enseignement, à améliorer. Il en va de même pour l’atteinte des objectifs fixés dans la Charte. Ce sont autant de challenges et d’enjeux que le personnel administratif et enseignant devra relever dorénavant. Il va de soi que la faculté des lettres et des sciences humaines est conviée à participer activement aux projets sociaux de chantiers initiés par l’État du Maroc. Des projets qui sont notamment en relation avec les valeurs de la divulgation du savoir, de la modernité et de la démocratie. Sans oublier que cela concerne également l’interculturalité, la culture de la tolérance et la conservation de l’identité marocaine.
L’optimisation du système éducatif : une priorité
Comme il a été mentionné par Sa Majesté le Roi, l’enseignement et la formation de la jeune génération sont au cœur des priorités. Tout cela s’accorde avec la Charte nationale de l’éducation et de la formation, ainsi que les stratégies adoptées. Ces défis demandent la convergence de tous les efforts pour atteindre efficacement les objectifs. Tous les corps administratifs et enseignants sont invités à mettre en œuvre toutes les tactiques pour optimiser et accroître les performances. Ceci, afin de satisfaire les besoins des étudiants et réformer le système d’enseignement universitaire. Le chef de chaque établissement concerné doit donc rester à l’écoute et être d’un grand soutien à la collectivité qu’il dirige.
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